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50 femmes de la Lékié (centre-Cameroun) formées aux TIC



  • En partenariat avec l’Organisation des femmes pour le développement de la Lékié (ORFEDEL), l’Institut africain d’informatique (IAI) du Cameroun vient de former 50 femmes du département de la Lékié (région du Centre) aux technologies de l’information et de la communication (TIC), dans le cadre du projet «un Million de jeunes, d’enfants et de femmes» (MIJEF) 2035.

    Des récipiendaires ont reçu des Attestations de fin de formation dans la ville d’Obala, le 26 novembre 2016, en présence du Représentant-résident de l’IAI-Cameroun, Armand Claude Abanda.

    La cérémonie de remise des attestations aux 50 bénéficiaires a eu lieu samedi dernier, au cours de la clôture de la semaine d’activités de l’ORFEDEL présidée par Mme Nkoa Atenga Ruffine.

    Dans son intervention, la marraine de la promotion, Mme Haman Élise, a souhaité que les actions de formation comme celle qui s’achève puissent se multiplier afin que d’autres femmes de la localité en profitent.

    Manifestant leur joie, les bénéficiaires ont remercié la Première dame Chantal Biya, Marraine nationale de MIJEF 2035 et les bonnes volontés qui ont contribué pour l’heureux aboutissement de cette session de formation ouvrant les portes de la modernité du numérique.

    Et Armand Claude Abanda, à son tour, de féliciter les membres du bureau de l’ORFEDEL en général et Mme Onana Suzanne en particulier, pour avoir été au centre du fructueux partenariat avec l’IAI-Cameroun, Centre d’Excellence technologique Paul Biya, qui a conduit à l’organisation de cette formation des femmes dans la ville d’Obala.

    Le Représentant-résident de l’IAI-Cameroun a également demandé aux récipiendaires de faire un bon usage des connaissances acquises, pour développer la Lékié en particulier et le Cameroun en général.

    En rappel, le projet MIJEF à l’horizon 2035 a été lancé en mars 2015. C’est une plateforme, selon les organisateurs, qui a pour objectif d’arrimer les couches défavorisées (femmes et enfants) aux TIC, en vue d’une création de richesses qualitative pour un Cameroun émergent à l’horizon 2035.

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