Outre le ministre de l’Environnement et de l’Assainissement, Ousmane Ag Rhissa, on notait la présence de l’ambassadeur du Burkina Faso au Mali, Mohamed Sané Topan, du président de la Chambre des mines, Abdoulaye Pona, et de la promotrice de Mama-Light, son altesse royale la princesse Abzeita Djigma.

Mama-Light est une petite lampe solaire très pratique, munie d’un panneau solaire et ayant une autonomie de 5 h. Elle permet aux enfants, surtout les ruraux, d’apprendre leurs leçons avec une lumière performante.

Le ministre Ousmane Ag Rhissa a expliqué que depuis les sécheresses des années 1970 et 1980, notre pays a fait de la lutte contre la sécheresse un axe de son développement et la protection de son environnement est devenue un défi majeur au 21e siècle.

Il a ajouté que cela fait recourt aux énergies renouvelables et son département ne peut qu’encourager Abze Solar dans cette initiative.

Pour la promotrice de Mama-Light, son altesse royale la princesse Abzeita Djigma, c’est un rêve qui est devenu réalité. « Dans mon village, il n’y avait pas d’électricité quand j’étais enfant. La lampe solaire Mama-Light a été faite avec les facilités offertes par le ministre de l’Environnement et l’accompagnement du partenaire qu’est la Chambre des mines. C’est une lampe qui a une garantie de 2 ans », a expliqué cette ingénieure burkinabé.

Pour le président de la Chambre des mines, Abdoulaye Pona, le Mali a deux richesses : le soleil et le sous-sol. « Si le Mali mettait en pratique sa richesse énergétique, l’énergie solaire suffirait pour éclairer tout le Mali. Il faut saluer son altesse pour le choix porté sur le Mali pour s’implanter. Les enfants peuvent s’estimer nés sous une bonne étoile », a-t-il indiqué avant d’ajouter qu’Abze Solar et la Chambre des mines sont porteurs d’un projet d’une centrale de 100 MGW.

A. D.

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Source : L'Indicateur du Renouveau

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