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Société Publié le samedi 12 mai 2012 | L’intelligent d’Abidjan

Environnement / Protection des eaux côtières et avancée de la mer : Voici les solutions des experts

© L’intelligent d’Abidjan Par Prisca
Justice : Le tribunal militaire d’Abidjan ouvre ses portes
Jeudi 1 mars 2012. Abidjan. Plateau. Etat major. Le tribunal militaire d’Abidjan a ouvert ses portes en presence des membres du gouvernements et responsables de l’armées.Photo : Le ministre Rémi Allah Kouadio
La 9ème réunion de la CICG (Commission Intérimaire du Courant de Guinée) et du projet Grand Ecosystème Marin du Courant de Guinée, s’est tenue le vendredi 11 mai 2012, à Abidjan (Hôtel Ivoire) en présence de la présidente de la CICG, la ministre ghanéenne de l’environnement, de la Science et de la Technologie, Sherry Ayittey, Allah Kouadio ministre ivoirien de l’environnement et du développement durable, ainsi que huit ministres de l’environnement des 16 pays membres. Les eaux transfrontalières de la côte d’Afrique occidentale sont classées aujourd’hui parmi les plus productives des eaux côtières dans le monde. Elles sont définies par le Grand Ecosystème Marin du Courant de Guinée et nécessitent protection. Car, constituant un réservoir important de la biodiversité marine. Pour le ministre de l’Environnement et du Développement Durable, Allah Kouadio Rémi, l’enjeu de cet atelier est important.

C’est dans cette dynamique qu’il urge, selon les participants, de mettre en place la Convention d’Abidjan dont l’objectif est de protéger le milieu marin et les zones côtières. «Il faudra avoir des projets concrets pour impacter sur le quotidien des populations», a dit le ministre ivoirien de l’Environnement. Quant à Henry Djombo, président de la Convention d’Abidjan, il a fait savoir que ces 16 pays sont confrontés aux érosions côtières, vu que le littoral est en train de s’émietter chaque jour. Aussi, préconise-t-il des actions courageuses pour freiner l’avancée de la mer et la surveillance du littoral au moyen de la télédétection, pour «permettre d’éviter le pillage des ressources biologiques par des exploitants et des pillards qui viennent de très loin». Mame Dagou Diop, représentante des Agences du Système des Nations-Unies, a conseillé une synergie des politiques environnementales, tout en bâtissant un cadre de coopération exemplaire.

A .Dedi
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