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La Première dame camerounaise nimbée par la diaspora africaine à Limours



  • En signe de reconnaissance de ses multiples œuvres sociales et humanitaires, Chantal Biya a reçu le Prix du leadership féminin africain et le titre d’ambassadrice du numérique pour la femme africaine, le 12 août 2017 à Limours (France).

    En effet, elle a été la marraine de l'Opération 100 000 femmes qui a permis de former 103 350 femmes au TIC sur l'ensemble du territoire nationale.»

    À travers cette plateforme, l’ambassadrice de bonne volonté de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) «a donné la possibilité au Cameroun d'avoir une visibilité d'un État qui est en train de s'orienter vers le numérique de façon remarquable».

    La lauréate d'Or avec Cordon du Grand prix humanitaire de France (GPHF) est également la marraine du programme un Million de Jeunes, d’Enfants et de Femmes (MIJEF) pour l'émergence du Cameroun à l'horizon 2035.

    Une caution morale qui impulse l’implémentation de l’initiative socioprofessionnelle de l'Institut africain d'informatique (IAI)-Cameroun, axée sur la formation des enfants, des jeunes et des femmes à l’outil informatique (Microsoft Word, Excel, PowerPoint, Internet, initiation à l’entrepreneuriat, montage de projet, l’éthique citoyenne…).

    Des plateformes qui visent à sortir les couches défavorisées (enfants, jeunes et femmes) de l’illettrisme (numérique) du 3ème millénaire.

    Ce énième sacre est décerné par le Comité exécutif de Diaspora et Investissement (DEI), à l’occasion de ses premières Journées d'été des diasporas africaines à Limours.

    Et le précieux trophée a été remis à Armand Claude Abanda, Représentant-résident de l'IAI-Cameroun et partenaire de la Fondation Chantal Biya, venu du Cameroun pour prendre une active à l’événement placé sous le thème : «L’accompagnement et le financement des projets en Afrique».

    «C'est un Prix pour tous les efforts effectués par la Première dame en termes d'accompagnement des œuvres sociales et humanitaires», a d’emblée exprimé le président de Dei, l’Ivoirien Jean Koreki.

    À l’occasion, Armand Claude Abanda, l’invité spécial, a décliné la méthodologie probante et atypique par laquelle il a conduit avec maestria l'Opération 100 000 femmes à l’horizon 2012 et relooké le programme MIJEF 2035 en cours.

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